Partir étudier à Chypre : le témoignage de Nizar, étudiant en dentaire à l’EUC

Partir étudier à Chypre : le témoignage de Nizar, étudiant en dentaire à l’EUC

Étudier la dentaire dans un cadre paradisiaque, tout en suivant une formation exigeante et reconnue ?

C’est le pari qu’a fait Nizar. Après une année de PACES en France, il décide de se tourner vers l’étranger pour concrétiser son rêve.

Aujourd’hui en 3ᵉ année à l’EUC, à Chypre, il revient sur son parcours, ses choix, et tout ce que cette expérience lui a déjà apporté humainement et professionnellement. Spoiler : il ne regrette rien.

Nizar étudiant à l’EUC, à Chypre

1. Le choix d’un métier

Qu’est-ce qui t’a donné envie de devenir dentiste ?

J’ai fait un stage au collège, et ça m’avait vraiment plu. Je savais que je voulais un métier avec beaucoup de pratique.

Ensuite, j’ai fait une année de PACES en France, et c’est là que je me suis rendu compte que j’étais beaucoup plus attiré par les matières en lien avec la dentaire que par la médecine.

Quelqu’un t’a influencé dans ce choix ?

Pas du tout. Je n’ai personne dans mon entourage  qui travaille dans le médical. Je me suis renseigné moi-même, j’ai testé, et petit à petit, mon intérêt s’est confirmé.

2. Étudier à l’étranger : un vrai projet

Pourquoi ne pas avoir poursuivi tes études en France ?

Après ma PACES, j’ai été admis en pharmacie, mais ce n’était pas ce que je voulais. J’ai donc commencé à chercher des options à l’étranger, car je voulais vraiment faire des études de dentisterie.

Tu as connu GEDS comment ?

Au départ, j’ai beaucoup entendu parler de GEDS mais pour le Portugal, j’ai d’ailleurs postulé là-bas dans un premier temps.

J’ai été admis en pharma et kiné, mais ce que je voulais vraiment, c’était dentaire. GEDS m’a ensuite contacté pour me parler de l’EUC à Chypre, avec un cursus en anglais.

J’ai échangé avec des étudiants sur place, ça m’a mis en confiance.

Qu’est-ce qui t’a convaincu de tenter l’aventure ?

Déjà, le système français ne m’offrait pas ma chance. Et puis, faire mes études en anglais, c’était un vrai plus pour moi.

Après avoir parlé avec des étudiants, j’ai compris que c’était une super opportunité. C’était la meilleure option pour moi.

Pourquoi avoir choisi l’EUC ?

Je n’avais même jamais pensé à Chypre ! J’avais aussi une option en Espagne, mais je voulais vraiment étudier en anglais.

L’université est bien réputée, j’ai fait mes recherches… et finalement, ça cochait toutes les cases.

Étudier dans un cadre paradisiaque, dans une université moderne, c’est assez unique.

Étudier dans un cadre paradisiaque, dans une université moderne, c’est assez unique.

3. Un parcours, une méthode

Comment se sont passés tes débuts à l’EUC ?

Un peu de stress au début, c’est normal. Mais très vite, j’ai trouvé mon rythme. En un mois et demi, tout roulait. Il y a beaucoup de Français, on s’entraide tous.

C’est vraiment un des gros point fort de passer par GEDS, au-delà de nous permettre de faire nos études à l’étranger, ça nous permet de rejoindre une vraie communauté, ce qui n’aurait pas été le cas si j’avais postulé seul dans une autre fac à l’étranger.

Il y a une soirée en début d’année qui nous aide à rencontrer des gens, toutes les conditions sont remplies pour ne pas être seuls et se faire des amitiés. Il y a même une soirée d’intégration au début de l’année, ça aide à se faire des amis rapidement.

Étudier dans une autre langue, ce n’est pas trop compliqué ?

Pour moi, c’était vraiment un choix. J’ai décidé de faire mes études en anglais pour m’ouvrir des portes, j’aimerais pouvoir partir au Canada.

C’est un réel avantage. Même ceux qui n’ont pas un niveau top en anglais en deux mois, ils se sentiront déjà à l’aise.

Et les coups de mou, tu les gères comment ?

Franchement, je n’en ai pas vraiment eu. Quand on fait des études à l’étranger, on n’a pas trop le luxe de baisser les bras : c’est un investissement, donc on se ressaisit vite.

Et puis on est tous dans la même situation, loin de nos proches. Du coup, on se soutient entre nous, on crée des relations fortes.

4. Autonomie et découvertes

Qu’est-ce que cette vie à l’étranger t’a appris ?

Énormément de choses. Déjà, en termes de maturité : partir à l’étranger, c’est un vrai cap. On rencontre des gens du monde entier, c’est super enrichissant.

Les Chypriotes sont très sympas, ouverts, leur culture est différente, c’est hyper intéressant.

Tu te sens plus indépendant aujourd’hui ?

Oui, complètement. On devient débrouillard très vite. Je pense qu’on grandit plus vite ici qu’en restant en France.

Et la distance avec ta famille ?

Ça s’est bien passé. On s’appelle une fois par semaine, et je rentre à chaque vacance. Ma famille est venue m’aider à m’installer, et ils viennent me voir quand ils peuvent.

Une anecdote à partager ?

Pendant la période des examens, on a une matière par jour sur deux semaines. On peut mieux s’organiser pour nos révisions de dernières minutes, car c’est plus étalé plutôt que de faire tous les exams en trois jours par exemple.

C’est un bon système, parce que ça laisse plus de temps pour réviser, c’est moins stressant.  On a eu deux jours supplémentaire pour les exams et comme on était en avance, on a pris une journée pour aller à la plage et nager avec les tortues, c’était exceptionnel.

Franchement, peu d’endroits permettent de vivre ce genre de moment.

5. Un message aux futurs étudiants

Si tu pouvais t’adresser à un étudiant qui hésite, tu lui dirais quoi ?

Qu’il va stresser au début, c’est sûr, mais que c’est l’une des meilleures décisions à prendre. C’est une expérience incroyable.

On s’entraide beaucoup, les profs sont accessibles, ils nous traitent comme de futurs collègues. C’est valorisant. Rien à voir avec le système français. Alors : fonce !

Tu referais le même choix aujourd’hui ?

Sans aucune hésitation. Je n’ai aucun regret.

Un dernier mot ?

Oui ! Le matériel à l’EUC est à la pointe de la technologie. L’université investit dans des équipements ultra-modernes, et on apprend aussi bien les techniques anciennes que les plus récentes. C’est un vrai privilège.

Le matériel à l’EUC est à la pointe de la technologie

On a aussi des labs en petits groupes (trois encadrants pour vingt étudiants), donc on peut poser toutes nos questions. On a beaucoup plus de pratique qu’en France, c’est un réel avantage.

Autre chose que j’aimerais partager, j’ai parlé avec des étudiants qui viennent d’avoir leurs diplômes à Chypre. J’avoue que je suis quelqu’un de nature stressé, et j’appréhende un peu la suite.

Ça a vraiment été rassurant de discuter avec eux et d’avoir leur retour. Ils se sentent réellement serein, bien formé, ils sont super à l’aise, même assez pour ouvrir leur cabinet seul. Des recruteurs viennent chercher les élèves sur place tellement la formation est qualitative.

Conclusion

Partir à l’étranger, ce n’est pas fuir un système : c’est se donner une autre chance. Et parfois, c’est là que tout s’éclaire.

Pour Nizar, comme pour beaucoup d’autres, l’EUC a été plus qu’un plan B : c’est devenu le cadre d’un projet ambitieux, solide, tourné vers l’avenir.

Car oui, faire ses études à l’étranger, c’est s’ouvrir au monde, gagner en maturité, apprendre autrement, et se construire en confiance. Et c’est exactement ce qu’on veut rendre possible chez GEDS.

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