Envoyer son enfant étudier à l’étranger : une décision, zéro regret

Envoyer son enfant étudier à l’étranger : une décision, zéro regret

Laisser son enfant partir étudier à l’étranger est un cap important pour de nombreux parents. Entre les inquiétudes, les doutes et les obstacles administratifs, ce choix peut paraître complexe. Mais il peut aussi offrir des opportunités uniques.

Christophe, papa d’Anthonin, étudiant en vétérinaire à Egas Moniz (Portugal), partage son expérience. De la prise de décision au suivi à distance, il raconte comment il a accompagné son fils dans cette grande aventure.

1 – Le choix du parcours et du pays 🇵🇹

Avant que votre enfant ne parte, quelles étaient vos principales inquiétudes ou hésitations ?

Parcoursup devenait de plus en plus compliqué, malgré le bon niveau d’Anthonin. Mon épouse connaissait une famille dont l’enfant étudiait en Roumanie, ce qui nous a poussés à envisager une solution européenne. Un ami portugais nous a rassurés sur la ville et le pays en nous affirmant que c’était un endroit sûr et agréable.

Pourquoi votre enfant a-t-il choisi d’étudier la santé à l’étranger plutôt qu’en France ?

Le parcours était trop restrictif en France. Anthonin ne voulait pas faire de prépa et perdre deux ou trois ans dans un stress permanent pour le concours. Malheureusement, il n’a pas été sélectionné en prépa véto en France. Nous l’avions préparé à cette éventualité, et nous avons exploré d’autres options.

Comment avez-vous vécu cette décision en tant que parent ?

C’était son rêve de devenir vétérinaire, alors nous avons tout fait pour qu’il puisse le réaliser. Nous trouvons le système de sélection avec GEDS sélectif mais bien plus juste. Le Portugal n’est pas si loin et nous avons toujours beaucoup voyagé, donc l’idée de l’expatriation ne nous effrayait pas.

Anthonin part faire ses études de vétérinaire au Portugal avec GEDS

2 – L’expérience du départ et l’installation ✈️

Comment s’est passée la période précédant le départ ?

Émotionnellement ça a été, c’est plus dur pour les parents que pour l’enfant finalement. La recherche de logement a été plus compliquée. Il faut faire attention aux arnaques, mais aucun souci avec l’université. Nous sommes arrivés la veille de la rentrée, et il a commencé dès le lendemain.

Comment votre enfant a-t-il vécu ses premières semaines ?

Nous lui avons trouvé une colocation, ce qui l’a aidé à créer des liens. Il est très solidaire avec ses colocataires, et ils sont ensemble en cours. Lors de ma première visite, j’ai vu qu’il s’était déjà bien intégré, ça m’a rassuré.

3 – Le suivi et la relation à distance 📞

Comment gérez-vous la distance au quotidien ?

Anthonin rentre très régulièrement. Nous sommes venus pour la soirée d’intégration, et cela nous a permis de voir qu’il était parfaitement bien intégré. J’ai gardé des jours de congés au cas où il aurait besoin d’un soutien moral mais ça n’a pas été nécessaire.

Nous avons la chance d’habiter à Marseille, l’aéroport à proximité. Lisbonne n’est pas si loin, deux heures d’avion et il est à la maison. Je me dis que s’il était parti étudier à l’autre bout de la France, 6h de route de chez nous, finalement, ça aurait été plus compliqué et qu’on ne pourrait pas le voir aussi souvent.

Avez-vous remarqué une évolution chez votre enfant depuis son départ ?

Oui, il a gagné en maturité et en autonomie. Il dit lui-même que sortir du cocon familial lui a fait du bien.

Avez-vous eu l’occasion de visiter le pays ou l’université de votre enfant ? Si oui, qu’en avez-vous pensé ?

Le pays est accueillant, il faut s’y rendre pour voir comment c’est sur place. J’ai eu l’occasion de visiter l’université, de rencontrer Sonia, tout ça m’a aussi beaucoup rassuré. L’université est au top, le personnel, les locaux, vraiment rien à dire. Même lors de la soirée, nous nous sommes sentis bien accueilli par les profs, un accueil très chaleureux.

Anthonin dit lui-même que sortir du cocon familial lui a fait du bien

4 – L’évolution dans les études et le bien-être 🎓

Avez-vous été rassuré sur la qualité de l’enseignement ?

Il suffit de visiter l’université pour se rendre compte qu’ils sont loin d’être en retard, bien au contraire. L’université est moderne, bien équipée et le personnel est très compétent. Le fait que les cours soient en anglais est un avantage pour l’avenir professionnel d’Anthonin. Il pourra travailler partout, le monde lui est ouvert. C’était important pour nous qu’il ai un bon niveau d’anglais.

Comment voyez-vous son évolution ?

Nous l’avons toujours emmené partout, donc finalement le Portugal n’est pas si loin que ça, ce n’était pas un frein pour lui. Aucune difficulté rencontrée, il a très vite pris ses marques. Les transports sont gratuits pour les étudiants, c’est un avantage.

Il est épanoui et s’intègre parfaitement à son environnement. Il vis son rêve donc il ne peut-être qu’épanoui !

5 – Le regard des autres et les conseils aux futurs parents 👀

Avez-vous eu des retours sur le fait que votre enfant parte étudier à l’étranger ?

Beaucoup se demandent pourquoi nous avons choisi l’étranger plutôt que la France. Nous avons expliqué que ce n’est pas une solution de facilité, mais une sélection différente et exigeante.

Les élèves qui ont fait des prépas en France ont été complètement broyés, on ne voulait pas ça pour notre fils. Non, nous n’achetons pas le diplôme, c’est très sélectif et ça demande beaucoup de travail personnel pour l’étudiant.

Avec le recul, referiez-vous le même choix ?

C’est éprouvant autant pour les enfants que pour les parents, mais le rêve de nos enfants n’a pas de prix. Nous le referions sans hésiter, et même plus tôt. Voir notre enfant heureux et réaliser ses études de rêve c’est la plus belle récompense.

Je ne vois pas l’utilité d’aller envoyer nos enfants dans un système avec lequel ils vont être stressé et surchargé. La compétition ce n’est pas quelque chose qui convenait à Anthonin, là, ils se soutiennent tous, personne ne se tire dans la pattes.

Quel conseil donneriez-vous à un parent qui hésite encore ?

Foncez ! Le système est fluide, et nous avons été extrêmement bien accompagnés par GEDS. L’encadrement est humain et bienveillant. On ne lâche pas nos enfants comme ça, ils sont vraiment suivis.

Le mot de la fin :

Nous avons suivi les conseils de Sonia et on s’est sentis bien guidé et bien reçu. Avec mon épouse, on ne remerciera jamais assez Sonia et son équipe pour leur aide.

Nous avons une affection particulière pour Sonia, car on a beaucoup eu affaire à elle, mais même quand j’ai eu d’autres personnes, l’accueil a toujours été le même, il y a une générosité et de la compassion de l’équipe envers les parents, GEDS nous a donné les clés.

Si mon deuxième fils veut faire des études de santé, j’appelle Sonia direct !

Sonia de GEDS accompagne le pére d'un étudiant au Portugal

Conclusion

Le témoignage de Christophe met en lumière une réalité souvent sous-estimée : étudier à l’étranger n’est pas un choix par défaut, mais une opportunité enrichissante pour les étudiants et leurs familles.

« Si mon enfant est heureux, alors nous le sommes aussi. » Cette phrase résume parfaitement le ressenti de nombreux parents qui, après leurs doutes initiaux, constatent les bienfaits de cette expérience unique.

Et vous, seriez-vous prêt à laisser votre enfant tenter l’aventure ?

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