Mois : mai 2025

S’installer à Coimbra pour ses études vétérinaires est une belle aventure, mais trouver le logement idéal peut être un défi. Ornella partage son expérience de recherche, ses critères de sélection, les démarches administratives et ses conseils pour les futurs étudiants qui souhaitent s’installer sereinement dans cette ville universitaire du Portugal.

🔎 La recherche de logement : par où commencer ?

Comment as-tu commencé ta recherche ? Quels sites as-tu utilisés ? Combien de temps cela a-t-il pris ?

J’ai effectué mes recherches sur Idealista, Custojusto et les groupes Facebook. Mais j’ai préféré me déplacer sur place pour visiter. Finalement, j’ai trouvé via le bouche-à-oreille entre étudiants. Mon logement a été trouvé en une semaine.

🏠 Trouver le logement idéal : critères et attentes

Quels critères étaient les plus importants pour toi ? As-tu eu des difficultés à les respecter ?

Je ne voulais pas de colocation, car j’ai besoin de calme. Je voulais avoir un logement meublé avec un lit double, et j’ai trouvé facilement.

⚠️ Les difficultés rencontrées

Quelles ont été tes plus grandes difficultés ? As-tu eu des soucis avec les contrats ou la communication avec les propriétaires ?

Le propriétaire parle anglais, donc ça a été plus facile. Je n’ai pas eu de mal à faire le contrat, c’était simple et rapide.

✅ Vie dans le logement : satisfaction et compromis

Es-tu satisfaite de ton logement actuel ? Quels sont les aspects agréables et désagréables ?

Je suis très satisfaite de mon logement.

Les aspects positifs :

• Il y a des espaces communs : terrasse, barbecue, laverie.
• La laverie est gratuite, c’est pratique de l’avoir sur place.
• Tout est compris dans mon loyer (électricité, eau, internet), donc aucune formalité à gérer.

Le point négatif :

• Cela peut être bruyant.

💡 Conseils pour les futurs étudiants

Quels conseils donnerais-tu à un nouvel étudiant ? Quelles ressources recommanderais-tu ?

• Il est plus simple d’être sur place pour visiter.
• Ne jamais donner d’argent avant d’avoir vu l’appartement et signé le contrat.
• Commencer sa recherche le plus tôt possible.
• Parler avec les étudiants : ils peuvent donner de bons conseils et rassurer.

Ps : Si besoin, je me tiens disponible pour les futurs arrivants !

📑 Démarches et documents nécessaires

As-tu eu des difficultés avec les démarches administratives ? Quels documents étaient nécessaires ?

Je n’ai pas eu de difficulté particulière.

Documents nécessaires :

• NIF (numéro fiscal portugais).
• Attestation de résidence.

Nous avons fait les démarches en groupe, il existe des créneaux sans rendez-vous, et cela a été simple et rapide.

💰 Budget et coût de la vie à Coimbra

Quel budget as-tu prévu pour ton logement ? Est-ce que le coût de la vie est abordable ?

Loyer : 480€/mois tout compris. À savoir : Certains logements dans mon immeuble sont moins chers, mais plus petits. Le coût de la vie est abordable :

• Les courses sont à peu près au même prix qu’en France.
• Les activités, restaurants et bars sont moins chers qu’en France.

📍 Les quartiers recommandés pour les étudiants

Quels sont, d’après toi, les quartiers à privilégier ?

À éviter : Le quartier de l’université, car il n’y a pas de commerces et les transports s’arrêtent tôt. Quartiers recommandés :

• Montes Claros
• Praça de República
• Celas

➡️ Tous ces quartiers se trouvent dans le centre de Coimbra, où la vie est plus dynamique.

📌 La ville est agréable et adaptée aux étudiants : elle est plus petite que Lisbonne ou Porto, mais on y trouve tout le nécessaire, sans la foule ni le bruit.

Conclusion

Grâce à son anticipation et sa recherche sur place, Ornella a pu trouver un logement qui correspondait parfaitement à ses attentes. Coimbra est une ville étudiante, agréable et abordable, idéale pour s’installer et réussir ses études vétérinaires.

Son conseil principal ? Prendre le temps de visiter, échanger avec d’autres étudiants et ne jamais payer à distance sans garantie.

Après un parcours semé d’embûches en France, Kenza, passionnée par les études de santé, a décidé de tout recommencer à l’étranger.

Derrière cette décision, il y a le soutien indéfectible de sa maman, qui, malgré les doutes, a choisi de lui faire confiance. Dans ce témoignage, elle revient avec franchise sur les peurs, les démarches, les joies et la transformation de sa fille depuis son départ.

1. Une orientation compliquée en France

Pourquoi votre fille a-t-elle décidé de poursuivre ses études de santé à l’étranger ?

Elle a eu un parcours très compliqué en France. Sur les conseils du directeur du lycée, elle a fait une année de prépa médecine, mais elle n’a pas été sélectionnée — elle a été pénalisée parce que c’était une prépa privée.

Elle a ensuite enchaîné avec une année de psycho pour entrer ensuite en LAS biologie option santé. Elle a échoué à 0,4 point près.

Psychologiquement, c’était très dur. Elle était à bout, elle a même envisagé d’abandonner la médecine.

Aviez-vous déjà envisagé l’étranger auparavant ?

Oui, on avait déjà postulé l’année précédente. Elle avait été sélectionnée à Lisbonne en dentaire, mais comme elle avait aussi été prise en France, on l’avait inscrite ici.

Mais cette fois, c’est devenu une évidence. On a décidé ensemble. Elle a fait la prépa, ça l’a vraiment confortée dans son choix, et nous, ça nous a rassurés.

2. Le choix de partir : entre doutes et évidence

Quelles étaient vos principales craintes en tant que parent ?

Qu’elle parte loin. Si quelque chose lui arrivait, je ne pourrais pas être là tout de suite. J’avais peur pour sa sécurité. Et puis, on se demandait aussi si c’était vraiment sérieux, si ce n’était pas une arnaque, ou une école de bas niveau.

Comment avez-vous vécu cette décision ?

C’est devenu une évidence, même si financièrement, on a dû faire des concessions. Mais en tant que parent, on veut donner à nos enfants les meilleures chances.

Sonia m’a énormément aidée : elle a su me rassurer, répondre à toutes mes questions. Elle m’a accompagnée dans tout le processus. Elle ne m’a pas vendu du rêve, elle a été réaliste et honnête.

Qu’est-ce qui vous a convaincue que c’était une bonne décision ?

Quand je suis allée sur place, j’ai vu l’université, et je me suis dit “waouh”. C’était magnifique, bien équipé, ça ressemblait à un campus américain. J’ai vu les professeurs, leur accompagnement, la solidarité entre les élèves… Et surtout, j’ai vu ma fille heureuse.

3. Le départ : une transition bien accompagnée

Comment s’est déroulé le départ ?

On a profité à fond jusqu’au dernier moment. Son papa est parti avec elle. En deux ou trois jours, ils ont trouvé un appartement. Tout s’est fait assez rapidement et facilement.

Il est resté avec elle et sa sœur les dix derniers jours, jusqu’à la rentrée. Ça lui a permis d’apprivoiser les lieux, de voir que tout allait bien. Quand je suis venue à mon tour, j’ai ressenti la même chose : une ambiance rassurante.

Comment votre fille a-t-elle vécu ses débuts là-bas ?

Très bien. Elle s’est vite intégrée. La semaine d’intégration les aide à créer des liens, et depuis, ils veillent tous les uns sur les autres. Le fait que son père soit resté avec elle au début a aidé à faire la transition.

Les au revoir ont été très difficiles, mais finalement, j’ai mieux vécu son départ à Chypre que celui à Montpellier !

4. La vie sur place et la relation à distance

Comment vivez-vous la distance au quotidien ?

On fait beaucoup de Facetime, on s’écrit tous les jours. Les appels sont moins fréquents maintenant parce qu’elle va bien et qu’elle en ressent moins le besoin. Mais on garde un lien très fort.

J’ai aussi un lien avec ses copines, je peux leur écrire si j’ai besoin. C’est important pour moi.

Comment avez-vous vu votre fille évoluer depuis son départ ?

Je la trouve rayonnante, épanouie. Elle est devenue autonome, elle gère son budget, elle est responsable. Elle est beaucoup plus ouverte aussi.

C’est comme si elle avait trouvé ce qui lui manquait pour vraiment éclore. Cette expérience lui a donné une force intérieure. Elle vit très bien son quotidien.

Avez-vous visité l’université ? Quelle a été votre impression ?

Oui, et j’ai été impressionnée. L’université est superbe, très bien équipée, on dirait un campus américain. Et puis les professeurs sont très présents, très professionnels. Je me suis dit : “Quelle chance, c’est ici qu’étudie ma fille.”

5. Les études : travail, ambition et confiance

Avez-vous été rassurée sur la qualité de l’enseignement ?

Oui. Au début, j’avais peur, mais en discutant avec Sonia et en voyant la prépa, j’ai été rassurée.

Et surtout, j’ai vu le travail qu’elle fournit. Ce n’est pas plus facile qu’en France. Non, on n’achète pas le diplôme ! C’est intense, parfois elle ne rentre même pas pendant les vacances à cause des examens.

Qu’est-ce que cette expérience lui apporte selon vous ?

Elle apprend d’une autre culture. Elle grandit, elle devient plus tolérante, plus bienveillante. Elle a compris ce que c’est que l’amitié.

Étudier en anglais, c’est aussi une vraie valeur ajoutée. Ça leur ouvre des portes.

Et surtout, je suis persuadée qu’avec ce qu’elle fait aujourd’hui, elle pourra exercer le métier dont elle rêve. En France, on lui disait qu’elle n’était “pas capable”…

6. Et le regard des autres ?

Quel a été le regard de votre entourage sur ce choix ?

Beaucoup me disaient que j’étais cinglée de laisser ma fille partir à Chypre, que c’était trop loin. Mais j’ai aussi eu plein de retours positifs. Certains parents ont même fait partir leurs enfants à l’étranger après m’avoir entendue.

Avec le recul, referiez-vous ce choix ?

Oui, sans hésitation. Et si je dois le refaire pour sa sœur ou son frère, je le referai.

Quel conseil donneriez-vous à un parent encore hésitant ?

Si vous pouvez le faire, foncez. Offrez cette chance à votre enfant. Et passez par GEDS. Ils sont là, ils accompagnent, ils rassurent. Même si on a peur, on sait qu’ils ne sont pas seuls.

7. Une anecdote marquante ?

Quand je suis arrivée à l’école, je me suis dit “Quelle chance, c’est ici qu’elle va étudier !” C’est sa nouvelle vie, son nouveau départ.

Ce qui m’a le plus marquée, c’est de voir à quel point les élèves prennent soin les uns des autres. Ses amis garçons veillent sur les filles. Ça m’a beaucoup rassurée.

Et puis, on a une très belle relation, elle et moi. On partage beaucoup. Je vis cette expérience de maman avec beaucoup de sérénité. Je ne vois rien de négatif.

Conclusion

Parfois, il suffit d’un pas de côté pour ouvrir des horizons. En soutenant sa fille dans ce projet d’études à l’étranger, cette maman a vu naître une nouvelle version de Kenza : plus forte, plus confiante, et pleinement épanouie.

« On était prêts à se priver pour réaliser le rêve de notre fille. Aujourd’hui, on sait que c’était le bon choix. »

Trouver un logement étudiant peut être un vrai casse-tête, surtout lorsqu’on s’installe dans une ville que l’on ne connaît pas encore. À Gandra, une petite ville, l’offre est variée, mais il y a quelques points importants à prendre en compte pour faire le bon choix. Voici l’expérience d’Alexia étudiante en véto à CESPU qui partage son parcours, ses difficultés et ses conseils pour bien réussir son installation.

🔎 La recherche de logement : par où commencer ?

Comment as-tu commencé ta recherche ? Quels sites as-tu utilisés ? Combien de temps cela a-t-il pris ?

J’ai effectué ma recherche sur Facebook. En quelques jours, j’ai trouvé un appartement. Bien que tout soit relativement proche à Gandra, je trouve que le plus simple reste d’être sur place pour trouver rapidement.

🏠 Trouver le logement idéal : critères et attentes

Quels critères étaient les plus importants pour toi ? As-tu eu des difficultés à les respecter ?

Je voulais un logement lumineux et proche de l’université. Cela n’a pas été compliqué à Gandra, car tout est relativement proche et facilement accessible.

⚠️ Les difficultés rencontrées

Quelles ont été tes plus grandes difficultés ? As-tu eu des soucis avec les contrats ou la communication avec les propriétaires ?

J’avais réservé une chambre à l’amiable avec quelqu’un, mais sans contrat, et malheureusement, la personne s’est désistée au dernier moment. J’ai dû trouver quelque chose très rapidement. De plus, je n’ai pas de contrat de location, ce qui semble être assez courant ici.

Un logement satisfaisant ? Points forts et points faibles

Es-tu satisfaite de ton logement actuel ? Quels sont les aspects agréables et désagréables ?

Oui, je suis très satisfaite de mon logement, surtout en le comparant avec ceux de certains autres étudiants. Beaucoup rencontrent des problèmes d’humidité, ce qui n’est pas mon cas.

Les plus : L’aspect agréable est qu’il est bien situé, sans donner directement sur la rue centrale, ce qui offre un calme appréciable. Même en ouvrant les fenêtres, ce n’est pas trop bruyant.

Les moins : Le seul point négatif reste le vis-à-vis, car nous sommes tous très proches au niveau des fenêtres, et on peut facilement voir chez le voisin.

💡 Conseils pour les futurs étudiants

Quels conseils donnerais-tu à un nouvel étudiant ? Quelles ressources recommanderais-tu ?

• Privilégier la colocation aux résidences étudiantes : c’est souvent moins cher, plus spacieux et plus flexible en termes de règles. Les résidences peuvent convenir aux étudiants ayant besoin d’un cadre plus strict.
• Rencontrer son/sa futur(e) colocataire avant d’emménager : prendre un café ou échanger permet d’évaluer si la cohabitation peut bien se passer.
• Être transparent sur ses habitudes de vie : discuter des règles, des défauts et des attentes dès le départ évite les conflits.
• Avoir le permis de conduire est un vrai plus, notamment pour les activités sportives et les sorties (ex : aller à la mer).
• Se meubler malin : regarder sur Facebook Marketplace permet de trouver des meubles à bas prix.
• Prendre contact avec des étudiants déjà sur place : ils peuvent donner des conseils utiles et partager leur expérience.

Ps : Si besoin, je me tiens disponible pour les futurs arrivants ! 🚀

📋 Démarches et budget : ce qu’il faut savoir

As-tu eu des difficultés avec les démarches administratives ? Quels documents étaient nécessaires ?

J’ai trouvé un peu compliqué d’obtenir mon NIF. L’attente sur place a été longue. Cependant, on peut se rendre dans les villes voisines, comme Porto, où le délai pour obtenir un rendez-vous est plus court.

Quel budget as-tu prévu pour ton logement ? Est-ce que le coût de la vie est abordable ?

Au début, je payais 350€ par mois, et à partir de janvier, 400€. Ma colocataire paie le même montant. Au début, le coût de la vie était abordable, mais cela a augmenté depuis. Pour les courses, les restaurants, et les sorties, je prévois environ 350€ par mois, en ajoutant le nécessaire pour mon chat. Pour les fruits et légumes, je privilégie les petits commerçants, car c’est moins cher.

📍 Où vivre à Gandra ? Les quartiers à privilégier

Que penses-tu de l’offre de logement étudiant dans cette ville ? Que ferais-tu différemment si tu devais recommencer ?

Il y a une grande quantité de logements ou de chambres disponibles toute l’année. La plupart des étudiants vivent en colocation, car c’est plus économique que de vivre seul. Si je devais recommencer, je chercherais plus tôt et avec plus d’options pour ne pas être prise par le temps.

Quels sont, d’après toi, les quartiers à privilégier ?

Je conseillerais de chercher autour du Divino, ou autour de l’école vétérinaire. Toutefois, Gandra reste une petite ville où tout est facilement accessible.

Conclusion :

L’expérience de cette étudiante à Gandra montre qu’il est tout à fait possible de trouver un logement convenable, mais qu’il est essentiel de bien anticiper sa recherche et de s’informer sur les différentes options (colocation, résidences étudiantes, etc.). Son principal conseil : rencontrer la personne avant de commencer une colocation et toujours être honnête sur ses habitudes de vie pour éviter les mauvaises surprises.

Découvrez le programme de SOMT University of Physiotherapy combiné au programme de la célèbre Université de Maastricht

Vous rêvez d’une carrière internationale en kinésithérapie, combinant formation de haut niveau et diplômes reconnus ? Le parcours proposé par la SOMT University of Physiotherapy à Amersfoort, aux Pays-Bas, est fait pour vous.

Une université spécialisée, au cœur de l’innovation en kinésithérapie

SOMT est l’une des rares universités européennes entièrement dédiée à la kinésithérapie. Située dans un cadre moderne à Amersfoort, elle propose un Bachelor of Physical Therapy and Rehabilitation Sciences en trois ans, à l’issue duquel les étudiants peuvent poursuivre un master à l’Université de Maastricht en Sciences du Mouvement Humain.

Le programme est très bien noté aux Pays-Bas avec une moyenne de 9,1/10, reflet de la qualité de l’enseignement et de l’encadrement offerts. Cette formation complète permet d’obtenir deux diplômes reconnus à l’international :

• Bachelor of Science (BSc) en Physiothérapie et Sciences de la Réadaptation
• Master of Science (MSc) en Sciences du Mouvement Humain

Ce parcours est compatible avec l’exercice en France (exigences d’heures de stage remplies) et permet également l’inscription au registre BIG néerlandais, sous réserve d’un niveau B2 en néerlandais.

Le programme à SOMT University of Physiotherapy

Pendant les trois années de Bachelor, les étudiants suivent un programme intensif axé sur :

• Les sciences biomédicales fondamentales (anatomie, physiologie, pathologie)
• La théorie et la pratique de la kinésithérapie appliquée aux différentes populations (pédiatrique, adulte, gériatrique)
• L’apprentissage par problèmes (Problem-Based Learning)
• Des stages cliniques dès la première année
• La recherche scientifique appliquée à la réadaptation et à l’activité physique

L’approche de SOMT est très pratique et orientée vers le développement de compétences cliniques concrètes, tout en intégrant les dernières avancées scientifiques.

Le programme de Master à l’Université de Maastricht

Après le Bachelor à SOMT, les étudiants poursuivent leur formation avec un Master en Sciences du Mouvement Humain à l’Université de Maastricht, avec une spécialisation « Health and Rehabilitation ». Ce programme dure un an et comprend :

• Imagerie de la santé musculaire : étude du fonctionnement musculaire à l’aide d’outils avancés (IRM, EMG, tests fonctionnels).
• Activité physique et santé : analyse de l’impact de l’activité physique sur les santés métabolique, cardiovasculaire et cognitive, via l’utilisation de capteurs de mouvement.
• Analyse et restauration de la locomotion humaine : exploration des techniques modernes d’analyse 3D du mouvement et des solutions de réhabilitation innovantes comme la réalité virtuelle.
• Troubles du mouvement et réadaptation : travail sur des cas pratiques et réflexion critique sur l’utilisation des nouvelles technologies en réadaptation (capteurs, robotique).

Le cursus se conclut par un stage de recherche et la rédaction d’un mémoire, préparant les étudiants à une carrière de chercheur ou à l’intégration de la recherche dans leur pratique clinique.

Une approche complète de la santé et de la réadaptation

La formation met l’accent sur l’activité physique comme levier fondamental de la santé cardiovasculaire, métabolique et mentale. Comprendre et améliorer le mouvement humain, que ce soit pour prévenir ou réhabiliter des troubles, constitue l’objectif central de la spécialisation.

Pour qui est faite cette spécialisation ?

Elle s’adresse à ceux qui souhaitent approfondir la recherche sur l’interaction entre activité physique, mobilité et santé. Parmi les domaines explorés :

• Techniques non-invasives pour évaluer la santé musculaire
• Utilisation de la technologie portable pour le suivi de santé
• Analyse du mouvement pour le diagnostic des troubles moteurs
• Biomécanique clinique et neuro-réadaptation

Quels débouchés professionnels ?

Ce cursus ouvre des perspectives dans la recherche en activité physique et santé ou en réadaptation, que ce soit dans :

• Les universités (PhD)
• Les hôpitaux et centres de rééducation
• Les centres de style de vie et sociétés biomédicales (R&D)

Pour les professionnels déjà en poste, il permet d’intégrer une approche plus éprouvée par la recherche dans leur pratique quotidienne.

Rejoignez une formation d’exception et donnez à votre carrière de kinésithérapeute une dimension internationale grâce à SOMT University of Physiotherapy et à l’Université de Maastricht.