Interview étudiant : Tom, kiné à Egas : « C’est le meilleur choix que j’ai fait de ma vie »

Interview étudiant : Tom, kiné à Egas : « C’est le meilleur choix que j’ai fait de ma vie »

Changer de voie, quitter la France et repartir sur un nouveau cursus de santé, c’est un pari.

Tom, 21 ans, aujourd’hui en 2ᵉ année de kinésithérapie à Egas Moniz (Portugal), raconte son déclic, son quotidien et ses projets — avec une idée fixe : aider les gens, concrètement.

Le déclic : pourquoi cette voie ?

D’où vient ta vocation pour la kinésithérapie ?

Quand j’étais petit, j’ai eu une scoliose et j’ai fait énormément de séances de kiné. Je suis tombé sur un super kiné qui m’a transmis sa passion. Il était kiné pour une équipe de foot aussi et j’ai beaucoup aimé cet aspect. Il me parlait beaucoup de son métier et de la façon dont il aidait ses patients. C’est ça qui m’a donné envie : aider les gens et, parfois, changer leur vie. C’est gratifiant.

Qu’est-ce qui t’attire dans ce métier ?

Le contact humain et le lien avec le sport. Si je pouvais être kiné d’une équipe de foot ou de basket, ce serait vraiment le top. Le fait de pouvoir aider les gens.

Pourquoi avoir choisi l’étranger ?

J’ai fait une première année de médecine en France, mais j’ai échoué. Le système français ne me convenait pas : on travaille beaucoup seul, il y a peu de soutien, beaucoup de comparaison et une forme de compétition permanente. Je ne me voyais pas revivre une année comme ça. J’avais vécu une première année trop compliquée pour moi. Partir m’a permis de continuer la kiné autrement. J’ai entendu parler d’Egas par un ami déjà sur place, et ça m’a aidé à franchir le cap.

Ton quotidien d’étudiant

À quoi ressemble une semaine classique à Egas ?

Il y a des cours en amphi, mais j’y vais peu : avec mon année de médecine, j’ai pris l’habitude de travailler seul et j’ai gardé ce rythme. En revanche, je vais à tous les cours pratiques. Dès le premier semestre de première année, on fait de la pratique avec de vraies manipulations sur des personnes : on est tout de suite dans le bain, c’est génial.

Tu te sens à l’aise avec le rythme et les matières ?

Oui, ça me va bien. Comme j’ai appris à bosser seul, je m’organise. Quand on sort du bac, c’est plus compliqué le temps de trouver sa méthode de travail : il ne faut pas hésiter à demander de l’aide. On a été très bien intégrés par les deuxièmes années, je peux facilement aller vers eux si j’ai un doute ou une question.

Qu’est-ce qui te plaît dans la façon d’enseigner ici ?

C’est à taille humaine. Les profs sont super disponibles, on peut poser des questions pendant les cours et même en dehors ; ils répondent aux mails rapidement.

Et après ?

Tu sais déjà ce que tu veux faire après le diplôme ?

Je commencerai par des remplacements pour me constituer une patientèle. Ensuite, ouvrir mon cabinet ou suivre une équipe sportive. Ce qui me plaît, c’est qu’il n’y a pas de routine : on peut voyager, changer de patients, varier les expériences.

Quel aspect de ta future vie pro t’attire le plus ?

La liberté : choisir mes horaires, mes patients, mes spécialités. J’aimerais aussi faire une formation en ostéopathie pour compléter mes compétences.

Pour les futurs étudiants

Quel conseil donnerais-tu à quelqu’un qui hésite ?

Ne pas se lancer si on ne le sent pas ou si la distance fait trop peur. Mais pour moi, c’est le meilleur choix que j’ai fait de ma vie. Même si c’est dur au début d’être loin, on n’est jamais vraiment seul : on est bien entouré. Si ce qui fait peur, c’est de se retrouver seul, il n’y a pas d’inquiétude à avoir à ce niveau-là. De plus on n’est pas si loin, en 2h d’avion, on est rentré.

Une chose que tu aurais aimée savoir avant de commencer ?

Pas vraiment. Je suis content de ne pas avoir eu d’a priori : sans attentes particulières, je n’ai pas été déçu.

Selon toi, qu’est-ce qui fait un bon kiné ?

Être à l’écoute, c’est le plus important. Savoir se remettre en question, faire des recherches si besoin, et toujours écouter ses patients.

Entre envie d’aider, goût du concret et liberté de construire sa pratique, Tom a trouvé son équilibre à Egas Moniz. Son parcours montre qu’il n’existe pas un seul chemin pour devenir kiné : l’essentiel est d’oser celui qui vous ressemble.

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