Méthodes Fondamentales de Kinésithérapie : Un Guide Pratique

La kinésithérapie, également appelée physiothérapie, est une discipline de la santé qui se concentre sur la rééducation et la réadaptation des patients atteints de troubles musculo-squelettiques, neurologiques ou respiratoires. Les kinésithérapeutes utilisent une variété de méthodes et de techniques pour aider leurs patients à retrouver ou améliorer leur mobilité, leur fonction et leur qualité de vie. Dans cet article, nous allons explorer les méthodes fondamentales de kinésithérapie et comprendre comment elles contribuent à une récupération réussie.

Mobilisations et manipulations

Les mobilisations et les manipulations sont des techniques manuelles utilisées par les kinésithérapeutes pour réduire la douleur, améliorer la mobilité et optimiser la fonction des articulations. Les mobilisations consistent en des mouvements passifs, généralement appliqués avec une pression graduelle, tandis que les manipulations sont des mouvements plus rapides et plus énergiques. Ces techniques peuvent être utilisées pour traiter une variété de problèmes, tels que les entorses, les luxations, l’arthrose et les troubles de la colonne vertébrale.

Exercices thérapeutiques

Les exercices thérapeutiques sont une composante essentielle de la kinésithérapie. Ils sont conçus pour renforcer les muscles, améliorer la flexibilité, l’équilibre et la coordination, et augmenter l’endurance. Les kinésithérapeutes prescrivent des exercices spécifiques et adaptés à chaque patient en fonction de leurs besoins et de leurs objectifs. Les exercices peuvent être effectués à la maison ou en clinique, et peuvent inclure des exercices de résistance, d’étirement, de renforcement, d’aérobie et de proprioception.

Thérapie par le chaud et le froid

L’application de chaud ou de froid sur une zone affectée peut aider à réduire l’inflammation, la douleur et les spasmes musculaires. La thermothérapie, qui utilise la chaleur, favorise la relaxation musculaire, la circulation sanguine et l’élasticité des tissus. La cryothérapie, qui utilise le froid, est efficace pour réduire l’enflure et la douleur aiguë. Les kinésithérapeutes déterminent la méthode la plus appropriée pour chaque patient et peuvent utiliser des compresses chaudes, des coussins chauffants, des enveloppements de glace ou des bains de contraste.

Électrothérapie

L’électrothérapie est l’utilisation de courants électriques pour réduire la douleur, stimuler la guérison des tissus et renforcer les muscles. Parmi les techniques d’électrothérapie couramment utilisées, on trouve la stimulation électrique neuromusculaire (NMES), la stimulation électrique transcutanée (TENS) et l’électrostimulation fonctionnelle (FES). Ces méthodes peuvent être bénéfiques pour les patients souffrant de douleur chronique, de blessures sportives, de troubles neurologiques et de faiblesse musculaire.

Massothérapie

La massothérapie est une technique manuelle utilisée par les kinésithérapeutes pour détendre les muscles tendus, améliorer la circulation sanguine, réduire la douleur et favoriser la guérison. Différents types de massages, tels que le massage suédois, le massage des tissus profonds, le massage sportif et le drainage lymphatique, peuvent être utilisés en fonction des besoins spécifiques du patient. La massothérapie peut être bénéfique pour les patients souffrant de douleurs musculo-squelettiques, de stress, de troubles de la circulation et de troubles postopératoires.

Hydrothérapie

L’hydrothérapie, également connue sous le nom de thérapie aquatique, implique l’utilisation de l’eau pour faciliter la rééducation et la réadaptation. L’hydrothérapie est réalisée dans une piscine chauffée, ce qui permet aux patients de bénéficier des propriétés thérapeutiques de l’eau, telles que la flottabilité, la résistance et la chaleur. Cette méthode est particulièrement utile pour les patients ayant des difficultés à effectuer des exercices sur terre en raison de la douleur, de l’arthrite, de la faiblesse musculaire ou de l’obésité. L’hydrothérapie peut également améliorer la mobilité, la force, l’endurance et la relaxation.

Éducation du patient et conseils

L’éducation du patient est un élément crucial de la kinésithérapie. Les kinésithérapeutes informent leurs patients sur la nature de leur condition, les objectifs du traitement, les techniques d’autogestion et les modifications du mode de vie. Les conseils peuvent inclure des informations sur l’ergonomie au travail, l’amélioration de la posture, la gestion du stress et les habitudes de sommeil. En donnant aux patients les outils et les connaissances nécessaires pour prendre en charge leur propre santé, les kinésithérapeutes les aident à devenir des acteurs actifs dans leur processus de guérison et de prévention des blessures futures. Si votre kiné vous donne des exercices à faire à domicile, pensez à bien les suivre et les appliquer selon ses consignes.

Trois méthodes fondamentales de kinésithérapie qui ont vu le jour au XXème siècle

Au cours du XXème siècle, trois approches clés en kinésithérapie ont été développées : les méthodes Mézières, McKenzie et Busquet. Malgré les avancées technologiques significatives dans le domaine de la kinésithérapie, ces méthodes continuent d’être largement employées. Examinons les particularités de chacune de ces méthodes :

La méthode Mézières

La méthode Mézières est une approche globale de la kinésithérapie qui se concentre sur la correction des déséquilibres musculaires et posturaux. Développée par la kinésithérapeute française Françoise Mézières, cette méthode repose sur l’idée que de nombreuses douleurs et dysfonctions sont causées par des chaînes musculaires rétractées et déséquilibrées. Les kinésithérapeutes formés à la méthode Mézières utilisent des techniques de stretching, de renforcement et de respiration pour assouplir et rééquilibrer les chaînes musculaires, améliorer la posture et réduire la douleur. Cette méthode peut être bénéfique pour les patients souffrant de troubles musculo-squelettiques, de scoliose, de lombalgie et de problèmes de posture.

La méthode McKenzie

La méthode McKenzie, également connue sous le nom de thérapie mécanique du diagnostic et de la thérapie (MDT), est une approche de kinésithérapie axée sur l’évaluation, le traitement et la prévention des douleurs musculo-squelettiques, en particulier les douleurs lombaires. Développée par le physiothérapeute néo-zélandais Robin McKenzie, cette méthode encourage les patients à effectuer des exercices d’auto-traitement et à adopter des postures spécifiques pour réduire la douleur et améliorer la fonction. Les kinésithérapeutes formés à la méthode McKenzie effectuent une évaluation approfondie pour déterminer les mouvements et les positions les plus appropriés pour chaque patient. Cette méthode est particulièrement efficace pour les patients souffrant de lombalgie, de sciatique et de troubles cervicaux.
Plus d’infos sur : mckenzieinstitute

La méthode Busquet

La méthode Busquet, également appelée Chaînes Musculaires et Articulaires Busquet, est une approche holistique de la kinésithérapie qui vise à traiter les causes sous-jacentes des douleurs et dysfonctions musculo-squelettiques en examinant les relations entre les muscles, les articulations et les fascias. Développée par le kinésithérapeute français Léopold Busquet, cette méthode évalue et traite les déséquilibres et les compensations dans les chaînes musculaires et articulaires du corps. Les kinésithérapeutes formés à la méthode Busquet utilisent des techniques de mobilisation, de stretching, de renforcement et de rééducation fonctionnelle pour améliorer l’alignement, la mobilité et la fonction. Cette méthode est adaptée pour les patients souffrant de douleurs musculo-squelettiques, de troubles posturaux, d’arthrose et de troubles neurologiques.

Conclusion

La kinésithérapie est une discipline de la santé qui offre une gamme de méthodes fondamentales pour aider les patients à retrouver ou améliorer leur mobilité, leur fonction et leur qualité de vie. Les techniques de kinésithérapie, telles que les mobilisations, les exercices thérapeutiques, la thermothérapie, l’électrothérapie, la massothérapie, l’hydrothérapie et l’éducation du patient, sont adaptées aux besoins individuels de chaque patient pour garantir une récupération réussie et une amélioration de la santé globale.

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Le guide d’installation au Portugal pour les étudiants par Antoine Careano

Logement, eau, électricité, internet, voiture : le guide l’installation au Portugal par Antoine Careano

Lors de votre arrivée au Portugal, vous vous demandez tous :

« Ok, je dois trouver où vivre, avoir internet parce que sans internet, pas moyen de geeker sur la console ou de regarder la dernière saison de ma série préférée, mais sans électricité pas d’internet donc faut faire ça aussi… aaah comment faire ?! »

Cet article est pour toi si tu as besoin d’être guidé !

Le logement

Le logement est la première chose à laquelle on pense quand on s’envole vers un nouveau pays. La première chose à se demander : Y a-t-il ou non une résidence universitaire ? Y a-t-il des chambres disponibles ?

Si malheureusement, il n’y a plus de place en résidence ou qu’elle n’existe tout simplement pas : pas de panique ! Il existe heureusement d’autres solutions d’hébergement.

La location d’un logement seul ou à plusieurs (colocation) reste la meilleure solution afin de pouvoir partager les différents frais mensuels (loyer et charges). Alors, où commencer ta recherche ?

Trouver un logement au portugal

Les agences immobilières

Les agences restent les premières portes à ouvrir quand on recherche un appartement ou une maison.
ERA, REMAX, PAULO FERREIRA … Non Stéphane Plaza n’existe pas au Portugal.

Attention !
Certaines personnes peuvent essayer de profiter des situations financières des Français et gonflent les prix ou rajoutent des frais.

Les pages Facebook

Les étudiants ont mis en place des pages Facebook où ils recensent les appartements qui se libèrent ou les colocations qui libèrent une chambre :

Du souvenir que j’ai de mes années CESPU, je sais que les professeurs et le personnel universitaire étaient assez à l’écoute des étudiants dans leurs difficultés, donc n’hésitez pas à en discuter avec eux.

Mais, une fois votre logement trouvé, pour faire toutes les démarches et les papiers nécessaires, il vous faudra un NIF, ou Numéro d’Identification Fiscal.

Le Numéro d’Identification Fiscal (NIF)

Le NIF, ou Numéro d’Identification Fiscal, est un numéro d’identité portugais. Et vous sera demandé pour toutes démarches administratives : électricité, eau, wifi, logement …

Pour le créer, il faudra vous rendre dans un lieu appelé « Finanças » :

  • À Famalicao : Rua Ernesto Carvalho 2, 4760-143 Vila nova de famalicao
  • À Gandra : Rua Dr. José Correia Pacheco, Paredes
  • À Lisbonne : il en existe beaucoup… 12 en tout !

Attention !
Lorsque vous ferez votre demande, gardez en tête que vous êtes NON RÉSIDENT portugais même si vous louez un appartement à votre nom. Toutes les “Finanças” sont trouvables sur internet et sur Google Map. Tapez simplement « Servicios das finanças » ainsi que la ville dans laquelle vous êtes dans votre barre de recherche !

L’électricité, le gaz, l’eau, le wifi

L’électricité et le gaz

Le centre qui s’occupe de tout ça s’appelle l’EDP.

C’est un fournisseur d’électricité et de gaz, donc vous pouvez centraliser. Toutes les démarches sont réalisables par téléphone (en portugais ou en anglais). Idéalement, munissez-vous d’une ancienne facture d’électricité du propriétaire afin de faciliter la prise d’informations, de votre NIF et d’une adresse e-mail.

L’eau

Vous devrez contacter les services de l’urbanisme et de l’environnement : « servicios do ambiente e urbanos ».

Vous pouvez retrouver les adresses sur les sites internet de la ville dans laquelle vous vous trouvez. Malheureusement, vous devez prendre rdv pour pouvoir réaliser les papiers nécessaires. Il vous faudra un justificatif de domicile valable, votre carte d’identité ainsi que votre NIF.

Le WIFI

Essentiel pour regarder la dernière série Netflix ou bien geeker avec les collègues ! Le prix de la fibre est relativement abordable au Portugal. Il existe trois opérateurs : MEO, NOS et Vodafone. Comme pour les opérateurs français, certains auront des problèmes et d’autres non. Mais les trois restent de bons opérateurs. Comme pour l’eau, il vous faudra un NIF, un justificatif de domicile et votre carte d’identité.

Le forfait de téléphone

Restez avec vos opérateurs français, mais assurez-vous que votre opérateur vous propose des services à l’étranger sans frais supplémentaires. Les opérateurs portugais sont assez chers pour ce qu’ils proposent en comparaison à nos forfaits français qui sont très bons.

Maintenant, vous allez me demander : « est-ce que la carte bancaire française permet de faire des paiements de ce type au Portugal ? »

Disons que le mieux du mieux est d’avoir un compte bancaire portugais.

Il existe cependant des PAYSHOP. Ce moyen de paiement portugais hors ligne permet de payer en espèces. Le client reçoit la référence Payshop (un numéro à 13 chiffres) dans une boutique en ligne et se rend chez l’un des agents agréés pour régler en espèces.

La dernière possibilité, c’est de voir avec le propriétaire du logement directement un moyen de faciliter les transactions.

La voiture au Portugal

Pour toute personne ayant une Twingo ou toute autre voiture de course, il y a des règles à respecter au Portugal.

À votre arrivée, vous devez vous présenter à la douane afin de déclarer l’entrée de votre véhicule dans le pays. Mais attention, le papier qu’ils vont vous remettre possède une validité de 30 jours, afin de pouvoir payer les différents péages.

Les péages au Portugal sont des portiques électroniques ou “SCOUTS”, avec des installations de caméras prenant en photo votre plaque d’immatriculation. Chaque portique joue le rôle de péage, mais sans barrières. Le montant à payer est imposé, et doit être réglé ultérieurement à la poste portugaise (CTT), ou bien sur le site internet ASCENDI (groupe responsable des autoroutes portugaises).

Pour éviter toutes ces démarches, vous pouvez prendre un pass “Via Verde”, qui fait office de pass de télépéage.

La voiture au portugal

Attention !
Si vous ne réglez pas ces frais, vous serez sujet à des amendes par la « fiscalisation » ou bien par la GNR. Sachez que les montants sont alors majorés et certains étudiants ont déjà reçu des sommes à payer assez exorbitantes (presque 3 000 euros voire plus…). Donc, pensez à régulariser les situations régulièrement.

En termes de droits concernant votre véhicule, sachez que vous n’avez en aucun cas la nécessité de changer la plaque du véhicule ou de payer de taxes sur les véhicules au Portugal, selon les lois européennes sur la libre circulation des étudiants dans un pays étranger.

Cela vaut si et seulement si vous ne travaillez pas au Portugal, et sur présentation d’une déclaration de scolarité valide. Si vous êtes amené à déclarer des revenus dans le pays, vous devez déclarer votre véhicule et payer ces fameuses taxes. Vous pouvez retrouver ces réglementations sur le site europa.eu.

Mes derniers conseils

Respectez les règles du pays dans lequel vous résidez, mais attention à ceux qui en abusent ; le but étant de trouver la juste mesure entre le respect des règles et ne pas se faire avoir.

Pendant votre séjour ; je vous conseille de visiter les villes alentours. À la fois parce que le Portugal est un pays avec un patrimoine magnifique (ça se voit que je vends mon pays ?), entre les plages, les vieilles bâtisses, les vieux quartiers et j’en passe ; mais c’est aussi en rapport à vos stages ; afin de connaitre un peu les villes dans lesquelles vous les effectuerez. Comme villes, il y a bien sûr : Porto, Braga, Guimarães, Aveiro, Barcelos, Gères (pour les cascades) et pleins d’autres.

Apprenez à connaitre les autres élèves ; les groupes Facebook permettent aussi d’être au courant des petits évènements que les gens organisent ; ne soyez pas timides et profitez-en pour passer de bons moments ; on est tous loin de notre famille, de nos amis, donc même si vous êtes là pour les études, profitez du temps libre que vous avez !

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Salaire d’un psychologue en France : combien gagne-t-il vraiment ?

En tant que professionnels de la santé mentale, les psychologues jouent un rôle essentiel pour aider les individus à surmonter des défis psychologiques, émotionnels et comportementaux. Leur rémunération dépend de plusieurs facteurs, tels que leur spécialisation, leur statut professionnel et leur expérience.

Dans cet article, nous allons explorer en détail les salaires des psychologues en France, en fonction de leurs différentes spécialisations et statuts.

Les différentes spécialisations en psychologie

Psychologue clinicien

Le psychologue clinicien est sans doute la spécialisation la plus connue. Il intervient dans le diagnostic, l’évaluation et le traitement des troubles psychiques, en collaboration avec d’autres professionnels de la santé. Le salaire moyen d’un psychologue clinicien débutant en France est d’environ 30 000 euros brut par an, et peut atteindre 50 000 euros avec de l’expérience.

Psychologue scolaire

Le psychologue scolaire travaille au sein des établissements scolaires pour aider les élèves en difficulté, les enseignants et les parents. Son rôle est essentiel pour favoriser le bien-être et la réussite scolaire. Le salaire moyen d’un psychologue scolaire débutant se situe autour de 30 000 euros brut par an, et peut augmenter jusqu’à 45 000 euros avec l’expérience.

Neuropsychologue

Le neuropsychologue se spécialise dans l’étude du fonctionnement du cerveau et de ses liens avec les comportements et les troubles cognitifs. Cette spécialisation est particulièrement utile pour diagnostiquer et traiter les troubles neurologiques, tels que la maladie d’Alzheimer ou les troubles de l’attention. Le salaire d’un neuropsychologue débutant en France est d’environ 33 000 euros brut par an, et peut atteindre 55 000 euros avec de l’expérience.

Psychologue du travail

Le psychologue du travail s’intéresse aux problématiques liées à l’organisation du travail, la gestion des ressources humaines et la prévention des risques professionnels. Il intervient auprès des entreprises pour améliorer les conditions de travail et la qualité de vie au travail. Le salaire moyen d’un psychologue du travail débutant est d’environ 35 000 euros brut par an, et peut augmenter jusqu’à 60 000 euros avec l’expérience.

Les différents statuts des psychologues en France

Psychologue salarié

Les psychologues salariés travaillent généralement dans les structures publiques (hôpitaux, établissements scolaires) ou privées (entreprises, cliniques). Leur salaire dépend de la grille salariale de la structure qui les emploie et de leur expérience. Les débutants gagnent généralement entre 30 000 et 35 000 euros brut par an, tandis que les psychologues expérimentés peuvent percevoir jusqu’à 60 000 euros brut annuels, voire plus dans certaines spécialisations.

Psychologue libéral

Le psychologue libéral exerce en cabinet privé, seul ou en groupe. Son salaire dépend de sa clientèle, de ses tarifs et de sa notoriété. Il est difficile d’estimer un salaire moyen pour un psychologue libéral, car il peut varier considérablement en fonction de ces facteurs. Néanmoins, on peut estimer que le revenu d’un psychologue libéral débutant se situe aux alentours de 30 000 euros brut annuels, avec la possibilité d’atteindre 70 000 euros ou plus avec l’expérience et une clientèle établie.

Les différents statuts des psychologues en France

Les perspectives d’évolution salariale pour les psychologues

Les psychologues peuvent bénéficier d’une évolution salariale en fonction de leur expérience, de leur spécialisation et de leur statut. En général, les salaires augmentent avec l’ancienneté et la reconnaissance professionnelle. De plus, certains psychologues peuvent se spécialiser davantage, en obtenant par exemple un doctorat, pour accéder à des postes plus rémunérateurs ou à des postes de recherche et d’enseignement.

Le salaire d’un psychologue en France dépend de nombreux facteurs, tels que sa spécialisation, son statut et son expérience. Les psychologues débutants gagnent généralement entre 30 000 et 35 000 euros brut par an, tandis que les psychologues expérimentés peuvent percevoir jusqu’à 70 000 euros ou plus, en particulier s’ils exercent en libéral. En choisissant une spécialisation et en développant leur expertise, les psychologues peuvent augmenter leurs revenus et leur satisfaction professionnelle.

Études pour devenir psychologue et avantages d’étudier à l’étranger

Pour devenir psychologue en France, il est nécessaire d’obtenir un Master 2 en psychologie, soit cinq années d’études supérieures après le baccalauréat. Les étudiants peuvent choisir parmi différentes spécialisations, comme la psychologie clinique, la psychologie du travail ou la neuropsychologie, en fonction de leurs intérêts et objectifs professionnels. Il faudra auparavant avoir obtenu sa Licence.

Dans un contexte de mondialisation et de diversification des approches en psychologie, étudier à l’étranger présente de nombreux avantages. Tout d’abord, cela permet de se familiariser avec d’autres cultures et pratiques professionnelles, contribuant à enrichir les compétences interculturelles et relationnelles des futurs psychologues. De plus, certaines universités étrangères offrent des programmes de formation spécifiques, parfois introuvables en France, qui peuvent être particulièrement intéressants pour se spécialiser dans un domaine précis.

Enfin, l’expérience d’étudier à l’étranger peut être valorisée sur le marché du travail, car elle témoigne de l’autonomie, de la curiosité et de l’ouverture d’esprit des candidats. Ainsi, effectuer une partie de ses études à l’étranger peut constituer un atout pour se démarquer dans le secteur de la psychologie et accéder à des opportunités professionnelles enrichissantes.

Nous proposons donc avec la GEDS un parcours complet alliant la licence ainsi que différents Master en Psychologie.

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La différence entre la kinésithérapie et l’ostéopathie : savoir choisir le bon praticien

Comprendre la kinésithérapie et l’ostéopathie

Dans le cadre d’une prise en charge, il est essentiel de bien choisir son praticien. Deux disciplines se démarquent en termes de traitement des douleurs et de rééducation : la kinésithérapie et l’ostéopathie. Cet article vous aidera à comprendre les différences entre ces deux pratiques, quand consulter un ostéopathe ou un kinésithérapeute, leur complémentarité et les prix moyens pratiqués.

Champs d’action

Les domaines d’intervention de la kinésithérapie et de l’ostéopathie.

La kinésithérapie

La kinésithérapie est une discipline paramédicale qui vise à rééduquer les patients atteints de troubles musculo-squelettiques, neurologiques ou respiratoires. Les kinésithérapeutes utilisent des techniques de mobilisation, de massage, de renforcement musculaire et d’électrothérapie pour soulager les douleurs et améliorer la fonctionnalité du corps. Les traitements sont souvent prescrits par un médecin et remboursés par l’assurance maladie. Ils ont un rôle important dans la prise en charge orthopédique et sont complémentaires du chirurgien orthopédiste.

L’ostéopathie

L’ostéopathie est une pratique manuelle qui vise à rétablir l’équilibre du corps en traitant les dysfonctions du système musculo-squelettique. Les ostéopathes se concentrent sur les articulations, les muscles, les ligaments et les fascias pour améliorer la mobilité et réduire la douleur. Contrairement à la kinésithérapie, l’ostéopathie est une médecine alternative et non remboursée par l’assurance maladie, sauf dans certains cas spécifiques.

Techniques et méthodes

Les approches spécifiques en kinésithérapie et ostéopathie.

Techniques de kinésithérapie

Les kinésithérapeutes emploient diverses techniques, dont :

  • 1. Mobilisation et manipulation articulaire : Ces techniques visent à améliorer la mobilité des articulations et à réduire la douleur.
  • 2. Massage thérapeutique : Il permet de détendre les muscles, d’améliorer la circulation sanguine et d’éliminer les tensions musculaires.
  • 3. Exercices de renforcement et de rééducation : Ces exercices ciblent les muscles affaiblis ou endommagés pour les renforcer et restaurer leur fonction.
  • 4. Électrothérapie : Des appareils électriques sont utilisés pour stimuler les muscles, réduire la douleur et favoriser la guérison.
  • 5. Cryothérapie et thermothérapie : L’application de chaud ou froid aide à réduire l’inflammation, la douleur et favorise la récupération musculaire.

Techniques d’ostéopathie

Les ostéopathes ont recours à différentes méthodes, telles que :

  • 1. Manipulation articulaire : Les ostéopathes utilisent des techniques de mobilisation et de manipulation pour rétablir l’équilibre et la mobilité des articulations.
  • 2. Techniques myofasciales : Elles permettent de traiter les restrictions et les adhérences au niveau des fascias, les enveloppes qui entourent les muscles et les organes.
  • 3. Techniques viscérales : Ces techniques visent à améliorer la mobilité et la fonction des organes internes en travaillant sur les fascias et les ligaments qui les soutiennent.
  • 4. Techniques crâniennes : Elles sont utilisées pour rétablir l’équilibre et la circulation du liquide céphalo-rachidien, influant ainsi sur le système nerveux central.
  • 5. Approche globale : L’ostéopathie considère le corps dans son ensemble et vise à traiter les déséquilibres et les dysfonctions à l’origine des symptômes du patient.

En combinant ces techniques spécifiques à chaque discipline, les kinésithérapeutes et les ostéopathes sont en mesure de proposer des traitements personnalisés et adaptés aux besoins de chaque patient.

Quand consulter ?

Faire appel à un ostéopathe ou un kinésithérapeute selon vos besoins.

Faire appel à un ostéopathe ou un kinésithérapeute selon vos besoins

Faire appel à un ostéopathe

Consultez un ostéopathe si vous souffrez de douleurs articulaires, de maux de dos, de troubles digestifs, de migraines ou de stress. L’ostéopathie est également recommandée en prévention pour les sportifs et les femmes enceintes, ou pour corriger les déséquilibres posturaux.

Faire appel à un kinésithérapeute

Faites appel à un kinésithérapeute si vous avez besoin de rééducation après une opération, une blessure ou une immobilisation prolongée. La kinésithérapie est également recommandée pour traiter les troubles neurologiques, les problèmes respiratoires et les douleurs chroniques. Il devra être votre premier choix dans le cas d’un doute et sera vous orientez vers une discipline complémentaire si son arsenal n’est pas suffisant.

La complémentarité des deux disciplines

Tirer le meilleur parti de la kinésithérapie et de l’ostéopathie.

Kinésithérapie et ostéopathie peuvent être complémentaires dans le traitement de certaines pathologies. Par exemple, un ostéopathe peut déterminer les causes sous-jacentes d’une douleur, tandis qu’un kinésithérapeute se concentrera sur la rééducation et le renforcement musculaire pour prévenir les récidives. Dans certains cas, il peut être bénéfique de consulter les deux praticiens pour obtenir un traitement complet et personnalisé.

La complémentarité des approches

L’ostéopathie, en tant que médecine holistique, traite le corps dans son ensemble et cherche à résoudre les déséquilibres structurels et fonctionnels. La kinésithérapie, en revanche, se concentre sur la rééducation et le renforcement des zones spécifiques du corps. En combinant ces deux approches, vous pouvez bénéficier d’un traitement global et ciblé.

Les prix moyens pratiqués

Comparer les coûts de la kinésithérapie et de l’ostéopathie.

Les prix de la kinésithérapie

Les tarifs de la kinésithérapie varient en fonction de la durée et du type de séance, ainsi que de la région où vous vous trouvez. En moyenne, une séance de kinésithérapie coûte entre 25 et 40 euros. N’oubliez pas que les traitements de kinésithérapie sont souvent prescrits par un médecin et remboursés par l’assurance maladie.

Les prix de l’ostéopathie

Les tarifs de l’ostéopathie varient également en fonction de la région, de l’expérience du praticien et de la durée de la séance. En moyenne, une consultation chez un ostéopathe coûte entre 45 et 90 euros. L’ostéopathie n’étant pas remboursée par l’assurance maladie, certaines mutuelles proposent des forfaits pour couvrir une partie ou la totalité des frais.

Trouver le bon praticien

Conseils pour choisir un ostéopathe ou un kinésithérapeute compétent. Pour choisir un ostéopathe ou un kinésithérapeute qui répondra à vos besoins, suivez ces conseils :

  • 1. Vérifiez les qualifications : Assurez-vous que le praticien possède les diplômes et les certifications requises pour exercer dans son domaine. En France, la kinésithérapie nécessite un diplôme d’État, tandis que l’ostéopathie requiert un titre professionnel d’ostéopathe (D.O.).
  • 2. Demandez des recommandations : Consultez votre médecin, des amis, de la famille ou des collègues pour obtenir des recommandations. Ils pourront peut-être vous orienter vers un praticien de confiance.
  • 3. Consultez les avis en ligne : Recherchez des avis et des témoignages de patients sur des sites web spécialisés ou des réseaux sociaux pour vous faire une idée de l’expérience et de la satisfaction des clients. Attention, ce n’est pas un gage de qualité pour autant. Certains praticiens travaillent énormément leur e-réputation.
  • 4. Prenez en compte la spécialisation : Certains praticiens se spécialisent dans des domaines particuliers, tels que la pédiatrie, la gériatrie ou le sport. Choisissez un professionnel dont la spécialisation correspond à vos besoins.
  • 5. Évaluez le relationnel : Un bon praticien devrait être à l’écoute, attentif et capable de vous mettre à l’aise. Lors de votre première consultation, évaluez si vous vous sentez en confiance et compris.

Contre-indications et précautions

Situations où la kinésithérapie et l’ostéopathie peuvent être déconseillées.

Il existe certaines situations où la kinésithérapie et l’ostéopathie peuvent être déconseillées ou nécessiter des précautions particulières. Voici quelques exemples :

  • 1. Fractures ou blessures récentes : Dans certains cas, il est préférable d’attendre que la guérison soit suffisamment avancée avant de commencer un traitement kinésithérapique ou ostéopathique. Votre médecin vous guidera sur le temps de repos nécessaire et vous donnera l’ordonnance des séances de kinésithérapie.
  • 2. Infections : Les infections aiguës, comme la grippe ou une pneumonie, peuvent nécessiter un report de la consultation en kinésithérapie ou ostéopathie.
  • 3. Cancer : Les patients atteints de cancer doivent consulter leur médecin avant de recevoir un traitement ostéopathique ou kinésithérapique, car certaines techniques pourraient être contre-indiquées.
  • 4. Grossesse : Bien que la kinésithérapie et l’ostéopathie puissent être bénéfiques pendant la grossesse, certaines techniques doivent être adaptées ou évitées. Assurez-vous que le praticien a de l’expérience dans le traitement des femmes enceintes.
  • 5. Antécédents médicaux : Informez votre praticien de vos antécédents médicaux, y compris les maladies, les interventions chirurgicales et les traitements médicamenteux, afin qu’il puisse adapter son approche en conséquence.

En cas de doute, consultez toujours votre médecin avant de recevoir un traitement kinésithérapique ou ostéopathique, et suivez ses conseils pour vous assurer que vous recevez les soins les plus adaptés.

Choisir entre la kinésithérapie et l’ostéopathie en fonction de vos besoins

En résumé, la kinésithérapie et l’ostéopathie sont deux disciplines distinctes qui traitent des problèmes de santé et de mobilité. La kinésithérapie est généralement recommandée pour les patients ayant besoin de rééducation suite à une blessure ou une opération, tandis que l’ostéopathie est plus adaptée pour traiter les déséquilibres et les douleurs chroniques. N’hésitez pas à consulter les deux praticiens pour bénéficier d’un traitement complet et personnalisé. Enfin, tenez compte des tarifs et des remboursements lors de la planification de vos consultations.

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Un diplômé en kiné de la CESPU répond à vos questions les plus fréquentes

GEDS a sélectionné les questions que vous nous posez le plus souvent à propos de la kinésithérapie et a décidé de laisser Antoine Careano vous répondre, un diplômé de la CESPU en kinésithérapie !

Y a-t-il un concours en fin de 4e année ?

“Si par concours, tu entends “thèse”, alors oui.
La 4ᵉ année est divisée en 3 parties :

  • 1. Les stages qui représentent la totalité de l’année ; en tout ce sont quatre stages dans quatre locaux différents.
  • 2. La « thèse »
  • 3. Des séminaires en lien avec la création d’un cabinet

Ensuite, la thèse est généralement par groupe de trois étudiants à CESPU, pour cela, choisissez bien les personnes avec qui vous travaillerez !”

Faut-il rendre un mémoire ? En français ou en portugais ?

“Comme dit précédemment, il y a bien une thèse à rendre. Et bien sûr, vous êtes au Portugal, alors vous devrez la rédiger en portugais. Mais ne vous inquiétez pas, vous êtes épaulés par de merveilleux professeurs qui se feront une vraie joie de vous aider ! De plus, en 4ᵉ année, votre niveau de portugais est suffisant pour pouvoir réaliser votre thèse. Malgré quelques tournures soutenues, pas de panique, vous êtes aidés.”

Est-ce que tous les stages doivent être faits au Portugal ?

“Les stages doivent en grande majorité être réalisés au Portugal. Vous serez néanmoins autorisé à en faire un seul en France, en 4e année. Certaines conditions doivent être réunies si vous souhaitez le faire dans un local en France. Pour cela, il faudra se diriger vers le régent des kinés de chaque université, car l’école doit visiter l’éventuel local afin de définir s’il remplit les attentes de la faculté.”

Suis-je aidé par l’université dans ma recherche de stage ?

“Oui, l’université vous aide dans votre recherche de stage. L’université a plusieurs partenaires et place ses étudiants chez ses partenaires de confiance.

Les étudiants ayant obtenu les meilleurs résultats choisissent en premier leur lieu de stage : plus votre classement est meilleur, plus vous aurez de choix de lieu de travail. Pour cela, bien travailler reste la clé !

Certains cabinets sont loin des universités, pour cela avoir un véhicule est nécessaire.”

Les examens sont-ils en portugais ? Suis-je pénalisé sur mon niveau de portugais ?

“Votre première année est en français, donc vos cours sont en français ainsi que vos examens de première année.

À partir de la 2e année, les choses se corsent un peu. Les cours passent en portugais et les examens aussi. Mais rassurez-vous, les professeurs sont très compréhensifs et à l’écoute des élèves. Ils ont conscience de la difficulté de la langue portugaise, alors ne vous inquiétez pas, et essayez juste de vous faire comprendre le mieux possible et de manière simple !”

Si je rate des examens, est-ce que je redouble ?

“Bonne question !

Il faut savoir que pour réussir vos examens, vous devez avoir la moyenne : soit au-dessus de 9,5. (Si vous avez 9,8 on arrondit au point supérieur, pour donc avec 9,8 ils considèrent que vous passez à 10 ! Même si… s’il vous plaît visez le 20 ! Toujours viser le sommet comme on dit !)

Maintenant que se passe-t-il si vous avez en dessous de 9,5 ?

Déjà, ce n’est pas bien ! Ensuite, pas de panique. Vous devrez aller aux rattrapages, qui sont généralement en fin de semestre. Au Portugal, lorsque l’on va au rattrapage, on dit que l’on va « Chumber » (dans un portugais très français) Dites-le aux professeurs, ça leur rappellera bons souvenirs ! Si votre note au rattrapage est de 19 ! Bravo, vous avez 19 dans votre matière.

Maintenant, vous allez me dire : “D’accord et si je me loupe à mon rattrapage ?”

Pas de chance, il faut le faire pour se louper. Mais ça arrive ! Il existe donc une “époque extraordinaire » en début d’année suivante, qui vous permet de repasser un rattrapage loupé. UN SEUL ET UNIQUE RATTRAPAGE, toute matière confondue. Donc, essayez d’en avoir le moins possible.

Ensuite pour finir, est-ce que l’on peut redoubler ?

Oui, chaque fin d’année, vous devez faire valider un certain nombre d’ECTS (crédits européens). Si vous n’avez pas assez d’ECTS validés… alors, vous redoublez.

OU BIEN

Imaginons que vous avez une matière comme biologie, que vous avez loupé jusqu’au bout (même en époque extraordinaire vous vous êtes loupé). Alors, vous pouvez passer en 2ᵉ année MAIS avec cette matière en plus dans votre emploi du temps ! C’est une alternative mise en place afin de ne pas retarder l’avancée de l’élève, mais ça impose une charge de travail en plus ! Ainsi tout réussir du premier coup en bon étudiant comme il faut est la meilleure voie ! N’hésitez pas à demander de l’aide aux professeurs, aux élèves des années supérieures, etc”.

Est-ce que je peux ne pas obtenir mon diplôme ?

“Cette question est assez étrange… Dans le sens où vous disposez d’une opportunité en or d’aller dans un pays étranger afin de réaliser votre rêve. Elle me permet en soi aussi de vous dire que même si vous avez le temps pour des loisirs, n’oubliez pas que ce sont des études de santé malgré tout. Vous aurez des patients entre les mains. Cette réponse peut paraitre très sérieuse, et elle l’est !

On ne doit pas se donner le choix entre avoir son diplôme et ne pas l’avoir. Faites tout, absolument tout pour réussir ! Et vous verrez que cette question ne nécessite même pas de réponse !

Mais si vous voulez une réponse claire et précise… Ne travaillez pas, n’étudiez pas et vous n’aurez pas de diplôme, oui… ”

Le diplôme est-il valable en France ?

Bien sûr, le diplôme est européen. Ainsi, il est valable en France, en Allemagne, en Pologne etc. La France demande une “équivalence” de diplôme qui se fait à partir de commissions régionales, ou bien à partir de la commission européenne aux vues de l’obtention de la carte européenne de santé. Tout cela sera évoqué dans un prochain article dédié aux étapes post-diplôme, ne vous inquiétez pas ! Mais bien sûr, le diplôme est valable en France si on ne compte pas cette étape intermédiaire.

Après l’obtention de son diplôme, faut-il s’inscrire à l’ordre portugais ou français ?

Il faudra s’inscrire aux deux. Mais chaque chose en son temps !

Il faudra s’inscrire à l’ordre portugais en premier, afin de poursuivre les démarches administratives nécessaires pour réaliser votre commission d’équivalence, ensuite, il faudra se désinscrire de l’ordre portugais pour s’inscrire à l’ordre français lors de vos débuts d’activités. Mais tout cela sera expliqué dans un prochain article.

Y a-t-il forcément des heures de stages compensatoires lors du retour en France ?

Lors de votre passage en commission, une mesure compensatoire peut vous être imposée comme un stage, ou bien une épreuve (un genre d’examen pratique) afin de compenser vos petites lacunes, ou combler les heures de stages qui manque par rapport aux normes françaises.

Elles ne sont pas imposées à tout le monde, cela dépend beaucoup du jury qui examine votre dossier et là, j’ai envie de dire que c’est au petit bonheur la chance ! Donc non, elles ne sont pas toujours exigées, essayez surtout d’avoir une répartition équilibrée des heures de stages dans chaque matière !

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En France, on m’a fermé des portes, au Portugal, on m’a déployé le tapis rouge

Kylie Delattre a rejoint l’Université Vasco de Gama (EUVG) à Coimbra en 2016. Elle fait donc partie de la toute première promotion d’étudiants français à avoir fait confiance à GEDS, et à être partie étudier la médecine vétérinaire au Portugal.

Nous sommes restés proches de Kylie tout au long de sa scolarité, et nous restons proches d’elle maintenant, avec son diplôme fièrement obtenu, et sa carrière lancée.

Kylie nous aide désormais à recruter les futurs étudiants en participant aux entretiens d’admission en tant que juré GEDS.

Nous sommes fiers de son parcours, et nous avons décidé de la mettre en lumière à travers cette courte interview.

Kylie, pourquoi avoir choisi d’étudier à l’étranger et pourquoi le Portugal ?

“À l’étranger, parce que la France s’est perdue dans sa quête de l’élitisme. L’Europe a évolué pendant que la France est restée sûre d’elle-même, laissant passer des éléments exceptionnellement motivés et à fort potentiel.”

“En France, on m’a fermé des portes, au Portugal, on m’a déployé le tapis rouge.”

“Le Portugal ? Car c’est au travers de cette sélection que j’ai été accueilli à bras ouverts. Que je me suis sentie écoutée et épaulée dans mon projet.”

Combien de temps ont duré tes études ?

“Après mon bac, j’ai eu deux ans de DUT (diplôme obtenu), puis deux ans de prépa ATS BIO (sélectionnée en école d’ingénieur) et la même année, j’ai été sélectionné au Portugal. Où j’y ai fait mes cinq ans et demi d’études. Donc en comptant les années post bac, j’ai bac + 10.”

Ton conseil pour apprendre au mieux le portugais ?

“Ne pas rester dans le cocon des étudiants français. C’est une grande erreur. Il faut vivre Portugal, manger Portugal, dormir Portugal. Il faut tout simplement avoir cette volonté d’intégrer cette nouvelle culture, et tout se passera au mieux.”

Quel est ton plus beau souvenir au Portugal ?

“Le Portugal tout simplement. Il est impossible d’y choisir qu’un souvenir.”
On reste marqué à jamais d’une expérience comme celle-ci.

Après tes études, as-tu trouvé du travail facilement ?

“Très facilement. J’ai été accueilli à bras ouverts. Et même en travaillant, je reçois presque tous les jours des nouvelles offres/opportunités.”

Kylie Delattre

Quel conseil donnerais-tu aux futurs étudiants / diplômés ?

“De profiter de la culture et des belles traditions que le Portugal a à offrir. Ne surtout pas vouloir venir au Portugal en instituant sa culture française. S’ouvrir à ce beau pays. Ce n’est que comme ça qu’ils réussiront à être bien d’esprit et ainsi réussir leurs études dans le meilleur environnement possible.”

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Salaire d’un kinésithérapeute en France : combien gagne-t-il vraiment ?

Le métier de kinésithérapeute est de plus en plus demandé en France. Cette profession paramédicale, axée principalement sur la rééducation et la réadaptation, offre de bonnes perspectives d’emploi et de rémunération. Dans cet article, nous allons nous pencher sur le salaire d’un kinésithérapeute en France, ainsi que sur les études nécessaires pour exercer cette profession et les avantages d’étudier à l’étranger.

Salaire d’un kinésithérapeute en France

Quel est le salaire d’un kiné ?

Le salaire d’un kinésithérapeute varie en fonction de plusieurs facteurs, tels que l’expérience, le lieu d’exercice et le mode d’exercice (salarié ou libéral). En moyenne, un kinésithérapeute débutant en France gagne environ 2 200 € bruts par mois. Avec l’expérience, cette rémunération peut progressivement augmenter pour atteindre 3 500 € à 4 000 € bruts par mois après plusieurs années d’exercice.

Quel est le salaire d’un kiné libéral ?

Les kinésithérapeutes libéraux bénéficient généralement d’une rémunération plus élevée que leurs homologues salariés. En effet, en tant qu’indépendant, un kiné libéral fixe lui-même ses tarifs et gère sa patientèle. Il est plutôt commun de voir un kiné libéral gagner entre 4 000 € et 6 000 € bruts par mois, voire plus pour les plus expérimentés et les plus sollicités. Cependant, il faut prendre en compte les charges liées à l’exercice en libéral (loyer du cabinet, assurance, frais de matériel, etc.), qui peuvent représenter une part importante des revenus.

Perspectives d’emploi et évolution de carrière des kinésithérapeutes

Les perspectives d’emploi pour les kinésithérapeutes sont actuellement favorables en France et en Europe. La demande pour les services de rééducation et de réadaptation est en constante augmentation, en raison du vieillissement de la population et de la prévalence croissante des maladies chroniques. Les kinésithérapeutes sont donc recherchés aussi bien dans les établissements de santé publics et privés que dans les cabinets de kinésithérapie en ville.

En termes d’évolution de carrière, un kinésithérapeute peut choisir de se spécialiser dans un domaine particulier, devenir formateur, ou encore occuper un poste à responsabilité dans un établissement de santé. Certains kinésithérapeutes décident également de créer leur propre cabinet ou de se lancer dans la recherche. Les opportunités de carrière sont donc nombreuses et variées pour les professionnels de la kinésithérapie, ce qui rend ce métier attractif pour de nombreux étudiants.

Perspectives d'emploi et évolution de carrière des kinésithérapeutes

Spécialités et salaires des kinésithérapeutes en France et en Europe

Le métier de kinésithérapeute offre plusieurs spécialités, qui peuvent influencer les salaires en France et en Europe. Parmi les principales spécialités, on trouve :

Kinésithérapie du sport

Le kinésithérapeute du sport intervient dans la prévention et la prise en charge des blessures sportives. En France, un kiné du sport peut gagner entre 3 000 € et 5 000 € bruts par mois, selon son expérience et sa notoriété. En Europe, les salaires sont assez similaires, avec des variations en fonction des pays et des compétitions sportives auxquelles ils sont associés.

Kinésithérapie pédiatrique

Le kinésithérapeute pédiatrique est spécialisé dans la prise en charge des enfants et des nourrissons. En France, le salaire d’un kiné pédiatrique oscille généralement entre 2 800 € et 4 500 € bruts par mois. En Europe, les salaires varient en fonction des pays, mais restent globalement comparables à ceux pratiqués en France.

Kinésithérapie respiratoire

Le kinésithérapeute respiratoire se concentre sur la prévention et le traitement des troubles respiratoires. En France, un kiné respiratoire peut percevoir un salaire compris entre 2 500 € et 4 000 € bruts par mois. En Europe, les rémunérations sont également similaires à celles de la France, avec des variations en fonction des pays et des systèmes de santé.

Kinésithérapie neurologique

Le kinésithérapeute neurologique s’occupe de la rééducation des patients atteints de troubles neurologiques. Les salaires en France pour cette spécialité se situent généralement entre 3 000 € et 4 500 € bruts par mois. En Europe, les salaires peuvent varier, mais restent globalement proches de ceux pratiqués en France.

Il est important de noter que les salaires mentionnés sont indicatifs et peuvent varier en fonction de l’expérience, du lieu d’exercice et de la réputation du professionnel. Les spécialités permettent aux kinésithérapeutes de se différencier et d’acquérir des compétences spécifiques, ce qui peut les rendre plus attractifs sur le marché du travail et influencer leur rémunération.

Études pour devenir kinésithérapeute et avantages d’étudier à l’étranger

Pour devenir kinésithérapeute en France, il est nécessaire de suivre une formation spécifique et d’obtenir un Diplôme d’État de masseur-kinésithérapeute (DEMK). Cette formation, d’une durée de 4 ans, est accessible après l’obtention du baccalauréat et la réussite à un concours d’entrée en institut de formation en masso-kinésithérapie (IFMK).

Avantages d’étudier à l’étranger

De nombreux étudiants français choisissent d’étudier la kinésithérapie à l’étranger, notamment en Belgique, en Espagne ou au Portugal. Les raisons de ce choix sont multiples :

  • 1. Accessibilité : Les formations à l’étranger sont souvent plus accessibles, car elles ne sont pas soumises à un concours d’entrée aussi sélectif qu’en France.
  • 2. Coût des études et de la vie: Dans certains pays, le coût des études, loyer et alimentation est moins élevé qu’en France, ce qui peut être un atout pour les étudiants disposant de ressources financières limitées.
  • 3. Reconnaissance des diplômes : Les diplômes obtenus dans les pays de l’Union européenne sont généralement reconnus en France, ce qui facilite le retour et l’exercice du métier de kinésithérapeute sur le territoire français.
  • 4. Ouverture culturelle et linguistique : Étudier à l’étranger permet de s’ouvrir à d’autres cultures, d’apprendre une nouvelle langue et de développer des compétences relationnelles et interculturelles très appréciées sur le marché du travail.
  • 5. Élargissement du réseau professionnel : Étudier à l’étranger donne l’opportunité de tisser des liens avec des professionnels et des étudiants de différents pays, ce qui peut s’avérer bénéfique pour la carrière future du kinésithérapeute.

Vous pouvez candidater grâce à la GEDS dans nos différentes universités partenaires en Europe. Tous nos diplômes sont valables en France grâce au processus de Bologne.

Conclusion

En somme, le salaire d’un kinésithérapeute en France varie en fonction de l’expérience, du lieu d’exercice et du mode d’exercice. Les kinésithérapeutes libéraux tendent à gagner davantage que les kinésithérapeutes salariés, mais doivent également faire face à des charges plus importantes.

Pour exercer ce métier, il est nécessaire de suivre une formation de 4 ans et d’obtenir un DEMK. Étudier à l’étranger présente plusieurs avantages, tels que l’accessibilité, le coût des études, la reconnaissance des diplômes, l’ouverture culturelle et linguistique, ainsi que l’élargissement du réseau professionnel.

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Quelles études pour devenir psychologue ?

La psychologie est une discipline passionnante qui offre de nombreuses opportunités de carrière et un champ d’étude vaste et diversifié. Si vous souhaitez devenir psychologue, il est important de connaître les étapes nécessaires pour y parvenir. Dans cet article, nous allons examiner les différentes formations en psychologie et les spécialités que vous pouvez choisir en fonction de vos intérêts.

Les différentes formations en psychologie

Licence en psychologie

La première étape pour devenir psychologue est d’obtenir une licence en psychologie, un cursus de trois ans. Durant cette période, vous étudierez les bases de la psychologie et vous familiariserez avec les différentes méthodes de recherche et théories psychologiques. La licence vous permettra d’acquérir des connaissances fondamentales dans des domaines tels que la psychologie cognitive, la psychologie sociale, la psychologie du développement, la neuropsychologie, entre autres.

Master en psychologie

Après la licence, il est nécessaire de poursuivre avec un master en psychologie, qui dure généralement deux ans. Le master vous permet de vous spécialiser dans un domaine spécifique de la psychologie, en fonction de vos intérêts et de vos objectifs de carrière. Les cours de master sont plus approfondis et axés sur la recherche, et vous devrez généralement réaliser un mémoire ou un projet de recherche pour obtenir votre diplôme.

Doctorat en psychologie

Pour ceux qui souhaitent aller plus loin et exercer en tant que psychologue clinicien ou travailler dans la recherche académique, un doctorat en psychologie est souvent nécessaire. Le doctorat dure généralement entre trois et cinq ans et comprend la réalisation d’une thèse de recherche originale, la participation à des conférences et la publication d’articles scientifiques. Ce niveau d’études vous permettra d’acquérir une expertise approfondie dans votre domaine de spécialisation et d’accéder à des postes de direction et de recherche avancée.

Pourquoi les étudiants français devraient envisager des études de psychologie en Europe, notamment au Portugal

En plus des formations disponibles en France, les étudiants français peuvent également envisager d’étudier la psychologie ailleurs en Europe, et plus particulièrement au Portugal. Voici quelques bonnes raisons pour lesquelles cela pourrait être une option attrayante :

  • 1. Accessibilité et coût des études : Les frais de scolarité dans certaines universités européennes, notamment au Portugal, sont souvent moins élevés qu’en France. De plus, le coût de la vie au Portugal est généralement inférieur, ce qui permet aux étudiants de réaliser des économies sur le logement, la nourriture et les transports.
  • 2. Expérience culturelle enrichissante : Étudier à l’étranger offre l’opportunité de s’immerger dans une nouvelle culture, d’apprendre une nouvelle langue et de développer des compétences interculturelles, qui sont de plus en plus valorisées sur le marché du travail.
  • 3. Élargissement du réseau professionnel : En étudiant la psychologie dans un autre pays européen, les étudiants peuvent élargir leur réseau professionnel et nouer des relations avec des enseignants, des chercheurs et des praticiens internationaux. Ceci peut ouvrir des portes à des opportunités de collaboration, de stage et d’emploi à travers l’Europe.
  • 4. Approches éducatives diversifiées: Les universités européennes, y compris celles du Portugal, peuvent offrir des approches pédagogiques différentes de celles pratiquées en France, ce qui permet aux étudiants d’acquérir de nouvelles perspectives et de développer des compétences complémentaires dans leur domaine d’étude.
  • 5. Mobilité et programmes d’échange: Les étudiants français qui étudient la psychologie en Europe peuvent bénéficier de programmes d’échange tels que Erasmus+, qui facilitent la mobilité des étudiants entre les universités partenaires et encouragent la coopération internationale dans le domaine de l’éducation.

En somme, étudier la psychologie au Portugal ou ailleurs en Europe peut offrir de nombreux avantages aux étudiants français, tant sur le plan académique que personnel. En plus d’acquérir une solide formation en psychologie, ils pourront profiter d’une expérience internationale unique, qui les aidera à se démarquer sur le marché du travail et à développer une compréhension plus globale de leur domaine.

L’apprentissage d’une langue étrangère permet d’enrichir sa pratique et la communauté lusophone étant importante en France, elle peut s’avérer être un avantage pour se créer une patientèle. Les études de psychologie au Portugal vous permettent de faire soit uniquement une licence mais aussi un master.

Les différentes spécialités en psychologie

En fonction de vos intérêts et de vos objectifs professionnels, vous pouvez choisir parmi plusieurs spécialités en psychologie.

Les différentes spécialités en psychologie

Psychologie clinique

La psychologie clinique est axée sur l’évaluation, le diagnostic et le traitement des troubles mentaux et des problèmes émotionnels. Les psychologues cliniciens travaillent dans des cliniques, des hôpitaux, des écoles ou des cabinets privés, et collaborent souvent avec d’autres professionnels de la santé pour fournir des soins aux patients.

Psychologie du travail et des organisations

La psychologie du travail et des organisations étudie les interactions entre les individus et leur environnement professionnel. Les psychologues du travail aident les entreprises à améliorer la productivité, la satisfaction et le bien-être des employés, en abordant des questions telles que la sélection du personnel, la formation, le développement professionnel, le leadership et la gestion des conflits.

Psychologie sociale

La psychologie sociale étudie les comportements, les attitudes et les relations humaines dans un contexte social. Les psychologues sociaux peuvent travailler dans des organisations gouvernementales, des entreprises ou des institutions éducatives, en se concentrant sur des sujets tels que la persuasion, les stéréotypes, la discrimination et les comportements de groupe. On pourrait nommer comme exemple commun la gestion d’un étudiant subissant du harcèlement.

Psychologie du développement

La psychologie du développement se concentre sur les changements cognitifs, émotionnels et sociaux qui se produisent tout au long de la vie. Les psychologues du développement travaillent souvent avec des enfants et des adolescents, en intervenant dans des domaines tels que l’éducation, la santé mentale, la politique sociale et la recherche.

Neuropsychologie

La neuropsychologie étudie les relations entre le cerveau et le comportement, en se concentrant sur les aspects cognitifs et émotionnels. Les neuropsychologues peuvent travailler dans des hôpitaux, des centres de réadaptation, des laboratoires de recherche ou des universités, en aidant à diagnostiquer et à traiter des troubles neurologiques et psychiatriques, ou en étudiant les mécanismes cérébraux sous-jacents aux processus mentaux.

Les perspectives de carrière pour les psychologues

En fonction de votre formation et de votre spécialisation, vous pourrez accéder à diverses opportunités de carrière en tant que psychologue.

Pratique privée

De nombreux psychologues choisissent d’ouvrir leur propre cabinet privé, offrant des services de consultation, d’évaluation et de traitement à des clients individuels ou à des groupes. La pratique privée permet une plus grande autonomie et flexibilité, mais nécessite également des compétences en gestion et en marketing pour assurer le succès de l’entreprise et une fidélisation de la patientèle.

Secteur public

Le secteur public offre des opportunités de carrière pour les psychologues dans des domaines tels que la santé, l’éducation, la justice ou les services sociaux. Les psychologues qui travaillent dans le secteur public peuvent intervenir dans la prévention, le soutien et la réhabilitation des personnes en difficulté, ainsi que dans la formation et le développement des professionnels de la santé et de l’éducation.

Recherche et enseignement

Les psychologues qui se spécialisent dans la recherche peuvent travailler dans des universités, des instituts de recherche ou des organisations gouvernementales, en étudiant les processus mentaux, les comportements et les relations humaines. Ils contribuent à l’avancement des connaissances en psychologie et peuvent également enseigner et encadrer des étudiants de licence, de master et de doctorat.

Entreprises et organisations

Les psychologues peuvent également trouver des opportunités de carrière au sein d’entreprises et d’organisations, en travaillant dans des domaines tels que les ressources humaines, la gestion des talents, le développement organisationnel ou le coaching. Ils aident à résoudre des problèmes liés à la motivation, à la communication, au leadership et à la satisfaction au travail, contribuant ainsi à la réussite et à l’épanouissement des employés.

En conclusion, devenir psychologue nécessite un parcours académique rigoureux et la maîtrise de compétences spécifiques à la discipline choisie. Toutefois, avec les bonnes études et la détermination, vous pouvez vous épanouir dans ce domaine passionnant et gratifiant, en contribuant au bien-être et à la compréhension des individus et des communautés.

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Confiance et Excellence
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Nos établissements partenaires sont accrédités et audités par les autorités compétentes

Vers le succès européen
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Les diplômes universitaires sont
reconnus dans toute l’Europe

Respect de la législation
Respect de la législation

Respect des directives des ordres français
pour faciliter le retour en France